27.03.09
L'éther est épaissi par la graisse idéologique.
Des chroniqueurs emploient maintenant des termes lourds: " jacqueries", amertumes collectives etc. comme le résultat lamentable d'un corps social, mené par le bout du nez, rempli de déceptions.
La manipulation n'est plus un secret depuis longtemps, mais il semble que nous devons aller jusqu'à l'excès - l'extrême ? - de ce cirque insensé.
Jusqu'où faut-il prendre conscience de cet hypnotisme ?
________________________________
25.03.09
Travaux photos. Fini le dossier Bordeaux, le dossier Bonnasse et le vernissage Batbedat.
200 fichiers !
___
Impossible de retourner naviguer dans la blogosphère.
Pourtant, revu quelques bloggeurs amicaux, ce w.e., mais je ne peux plus les encourager.
Replonger comme avant dans le blogocéan ne fait qu'exciter un désir de reconnaissance virtuel, vertigineux et toxique.
Trop dangereux.
Ce NeDanex est donc, lui aussi, une trahison, un faux.
Mais c'est un moyen pour échapper au "contrôlecteur" intérieur qui fait les choux gras du mental.
C'est un contrepied.
Espionner les peurs sans s'éloigner de la bienveillance: il s'agit bien de cultiver des vertus !
lles ne sont pas acquises - contrairement à l'opinion générale.
Les vertus de Lao-Tseu, de Socrate ou de Spinoza ne sont pas des potiches.
Ce sont des postures comme l'assise sur le zafu, dans lesquelles on s'exerce.
_________________________________
22.03.09
Minuit
Retour d'un w. e. convivial en Périgord.
Réconcilié à nouveau avec la philanthropie.
Les monologues parisiens vont-ils laisser plus de place à des dialogues incarnés ?
Beaucoup de travaux photos, là...
.
vendredi 27 mars 2009
samedi 21 mars 2009
Mars - 3
________________________________
20.03.09
8h
Lendemain de grève. Toujours autant de surdité, de cécité et de mépris.
Par contre, les manifestations, elles, augmentent.
Climat féodal.
23h
Vernissage - signature de P. B.
Photos
Le tee shirt d'espion me convient de plus en plus.
Je pourrais même me passer de tee shirt...
________________________________
18.03.09
Hier soir:
Vernissages V. B. (photos) et P. E.
Le tee-shirt de photographespion m'intéresse de plus en plus.
Il permet d'être présent et immergé dans des situations socio-mondaines sans jouer une hypothétique partition de représentation - qui ne serait pas la mienne d'ailleurs.
Ne pas laisser le moi partir en apné, emporté par une fascination qui ne lui est pas toujours avantageuse - d'ailleurs.
Il permet aussi d'être en contact avec et d'apprécier mes congénères en évitant la tentation de la misanthropie.
La pratique photographique fournit aussi l'occasion (philanthropique) de donner quelque chose comme un témoignage visuel, à des personnes que je ne peux pas inviter à dîner.
Après six mois de galère informatique, dont les trois derniers passés dans la calle, le retour à ce support se fait petit à petit. Comme de se réhabituer à la lumière (électronique) du jour.
Avec les cicatrices salées et laissées par des pertes relationnelles.
Ne pas chercher à construire "quelque chose", autrement dit, ne pas désirer démontrer.
Etre espion: laisser moins d'espace à la prétention.
L'espionnage intérieur oblige à une humilité rafraîchissante - d'ailleurs.
Ce "X", à qui l'espion doit rendre des comptes, est fourré au fin fond de la conscience.
Le moi cherche - évidemment - à prendre possession de ce "petit morceau" de lumière.
Le problème technique (pour le moi), c'est que ce petit morceau est donné à chacun mais qu'il n'est pas nominatif. Son universalité est embarrassante. Elle contrecarre les spéculations masturbatoires et le lobbiing égocentrique auxquels nous nous livrons avec une remarquable jubilation masochisante - d'ailleurs.
________________________________
17.03.09
L'agitation refleurit à l'école. Faiblesse croissante de l'attention chez les gamins.
Tensions nerveuses et agressives de certains collègues (collègues enseignants, métronautes, citadins etc.).
Curieuse symétrie: tout change tout le temps, et en même temps, tout continue.
Paradoxe rutilant du Samsara: c'est toujours ET jamais le même cirque.
La continuité, elle, fait de son propre mystère un jeu sarcastique: elle n'est jamais là où on s'attend à la trouver.
________________________________
16.03.09
Il y a toujours un risque pour un sentiment anémié de se transformer en ressentiment.
Même les manches retroussées ne protègent pas du camboui.
Et la pensée n'est jamais aussi désinvolte que lorsqu'elle se parodie elle-même.
.
20.03.09
8h
Lendemain de grève. Toujours autant de surdité, de cécité et de mépris.
Par contre, les manifestations, elles, augmentent.
Climat féodal.
23h
Vernissage - signature de P. B.
Photos
Le tee shirt d'espion me convient de plus en plus.
Je pourrais même me passer de tee shirt...
________________________________
18.03.09
Hier soir:
Vernissages V. B. (photos) et P. E.
Le tee-shirt de photographespion m'intéresse de plus en plus.
Il permet d'être présent et immergé dans des situations socio-mondaines sans jouer une hypothétique partition de représentation - qui ne serait pas la mienne d'ailleurs.
Ne pas laisser le moi partir en apné, emporté par une fascination qui ne lui est pas toujours avantageuse - d'ailleurs.
Il permet aussi d'être en contact avec et d'apprécier mes congénères en évitant la tentation de la misanthropie.
La pratique photographique fournit aussi l'occasion (philanthropique) de donner quelque chose comme un témoignage visuel, à des personnes que je ne peux pas inviter à dîner.
Après six mois de galère informatique, dont les trois derniers passés dans la calle, le retour à ce support se fait petit à petit. Comme de se réhabituer à la lumière (électronique) du jour.
Avec les cicatrices salées et laissées par des pertes relationnelles.
Ne pas chercher à construire "quelque chose", autrement dit, ne pas désirer démontrer.
Etre espion: laisser moins d'espace à la prétention.
L'espionnage intérieur oblige à une humilité rafraîchissante - d'ailleurs.
Ce "X", à qui l'espion doit rendre des comptes, est fourré au fin fond de la conscience.
Le moi cherche - évidemment - à prendre possession de ce "petit morceau" de lumière.
Le problème technique (pour le moi), c'est que ce petit morceau est donné à chacun mais qu'il n'est pas nominatif. Son universalité est embarrassante. Elle contrecarre les spéculations masturbatoires et le lobbiing égocentrique auxquels nous nous livrons avec une remarquable jubilation masochisante - d'ailleurs.
________________________________
17.03.09
L'agitation refleurit à l'école. Faiblesse croissante de l'attention chez les gamins.
Tensions nerveuses et agressives de certains collègues (collègues enseignants, métronautes, citadins etc.).
Curieuse symétrie: tout change tout le temps, et en même temps, tout continue.
Paradoxe rutilant du Samsara: c'est toujours ET jamais le même cirque.
La continuité, elle, fait de son propre mystère un jeu sarcastique: elle n'est jamais là où on s'attend à la trouver.
________________________________
16.03.09
Il y a toujours un risque pour un sentiment anémié de se transformer en ressentiment.
Même les manches retroussées ne protègent pas du camboui.
Et la pensée n'est jamais aussi désinvolte que lorsqu'elle se parodie elle-même.
.
dimanche 15 mars 2009
Mars - 2
15.03.09
La seule certitude que l'art puisse affirmer, c'est sa nécessité.
_________________________________
14.03.09
11h: Au K-ou
Cette semaine, retour dans les écoles, dans la soupière agitée de l'éducation.
Bouillons d'injustices, de vexations et d'aberrations. Pressions, formatages.
Retour dans les eaux de l'innocence infantile et sa charmante arrogance.
Retour dans le chaos du monde dont Trungpa dit que c'est une bonne nouvelle.
Perdu tous les travaux de mon stage du début du mois. Bon...
Le naufrage électronique est très étendu.
Etre espion n'est pas une plaisanterie à mi-temps.
C'est une forme de vigilance non orthodoxe.
Observer, étant dedans, observer et goûter le moment présent, même (surtout) avec ses amaritudes, sans parti-pris et sans (chercher à) savoir quelles sont les intentions de l'employeur.
Si jamais un espion a des comptes à rendre, il doit faire avec l'idée que le commanditaire de ce travail est inconnu, imperceptible et surtout avec qui une relation névrotique est impossible.
___
L'ordi, une fois de plus, sorti de son coma. Mercredi, extraction d'une carte graphique incompatible avec le reste des organes de l'engin. Chirurgie informatique.
Mais toujours un seul petit écran - mal réglé.
Faut-il aller jusqu'au point où cette pratique électronique devient finalement le miroir de nos propres blessures ?
___
Les courtisaneries, les manoeuvres de séduction - autrement dit: les manipulations, les petits (et gros) chantages affectifs...
Hypnose sociale, collective et inévitable.
Ce que l'on croit être, d'un côté, et le "gros" morceau inconscient de ce que l'on est vraiment (que les autres perçoivent, évidemment) et que l'on ignore plus ou moins volontairement.
_________________________________
11.03.09
Non pas au bord de craquer, mais au fond du craquement.
_________________________________
10.03.09
Reconstruction par la déconstruction. Des lambeaux d'ego sont tombés encore hier soir, comme tout le mois dernier.
L'aspect "camboui" et fosse septique de la pratique ?
Au fil des lectures, réapparaît cette étrange dimension des enseignements bouddhistes: le "sans".
Le sans sol ferme sous les pieds, le sans-espoir, le sans-foi, etc.
Cette négation qui, au fond, n'est pas négative, tient d'une géométrie bien paradoxale.
Le sans-forme, sans-espace, sans ceci, sans celà, semble assez différent de l'hindouisme et du christianisme, dans lesquels une part est laissée au(x) sentiment(s).
Leurs "voies du coeur" donnent de l'espace à cette énergie, elle aussi, tellement ambigüe: elle nous fait déplacer des montagnes et en même temps, elle est un carburant de choix pour Maya, la grande illusion.
Etrange.
Etudier les religions des hommes, c'est aussi étudier leurs coeurs.
Et le bouddhisme est donc bien une pratique à la fois pragmatique et visionnaire.
_________________________________
08.03.09
Retour de Sedan avec M.H. et X. C. On a bien ri.
Expo "Chimeria", art visionnaire actuel, bien fait, mais un peu trop illustratif.
Traduire ou témoigner (?) d'un processus de tranmutation intérieur est toujours aussi difficile.
___
Priorité (?): la photogravure.
La photographie est une rencontre avec le moment présent et le ressenti de toute sa géométrie, complexe, subtile et grossière; rencontre incestueuse entre l'espace et le temps dont la géomètre préférée est la synchronicité.
Lumière/espace/personnages, éléments...
Conjonction avec le "maintenant".
.
La seule certitude que l'art puisse affirmer, c'est sa nécessité.
_________________________________
14.03.09
11h: Au K-ou
Cette semaine, retour dans les écoles, dans la soupière agitée de l'éducation.
Bouillons d'injustices, de vexations et d'aberrations. Pressions, formatages.
Retour dans les eaux de l'innocence infantile et sa charmante arrogance.
Retour dans le chaos du monde dont Trungpa dit que c'est une bonne nouvelle.
Perdu tous les travaux de mon stage du début du mois. Bon...
Le naufrage électronique est très étendu.
Etre espion n'est pas une plaisanterie à mi-temps.
C'est une forme de vigilance non orthodoxe.
Observer, étant dedans, observer et goûter le moment présent, même (surtout) avec ses amaritudes, sans parti-pris et sans (chercher à) savoir quelles sont les intentions de l'employeur.
Si jamais un espion a des comptes à rendre, il doit faire avec l'idée que le commanditaire de ce travail est inconnu, imperceptible et surtout avec qui une relation névrotique est impossible.
___
L'ordi, une fois de plus, sorti de son coma. Mercredi, extraction d'une carte graphique incompatible avec le reste des organes de l'engin. Chirurgie informatique.
Mais toujours un seul petit écran - mal réglé.
Faut-il aller jusqu'au point où cette pratique électronique devient finalement le miroir de nos propres blessures ?
___
Les courtisaneries, les manoeuvres de séduction - autrement dit: les manipulations, les petits (et gros) chantages affectifs...
Hypnose sociale, collective et inévitable.
Ce que l'on croit être, d'un côté, et le "gros" morceau inconscient de ce que l'on est vraiment (que les autres perçoivent, évidemment) et que l'on ignore plus ou moins volontairement.
_________________________________
11.03.09
Non pas au bord de craquer, mais au fond du craquement.
_________________________________
10.03.09
Reconstruction par la déconstruction. Des lambeaux d'ego sont tombés encore hier soir, comme tout le mois dernier.
L'aspect "camboui" et fosse septique de la pratique ?
Au fil des lectures, réapparaît cette étrange dimension des enseignements bouddhistes: le "sans".
Le sans sol ferme sous les pieds, le sans-espoir, le sans-foi, etc.
Cette négation qui, au fond, n'est pas négative, tient d'une géométrie bien paradoxale.
Le sans-forme, sans-espace, sans ceci, sans celà, semble assez différent de l'hindouisme et du christianisme, dans lesquels une part est laissée au(x) sentiment(s).
Leurs "voies du coeur" donnent de l'espace à cette énergie, elle aussi, tellement ambigüe: elle nous fait déplacer des montagnes et en même temps, elle est un carburant de choix pour Maya, la grande illusion.
Etrange.
Etudier les religions des hommes, c'est aussi étudier leurs coeurs.
Et le bouddhisme est donc bien une pratique à la fois pragmatique et visionnaire.
_________________________________
08.03.09
Retour de Sedan avec M.H. et X. C. On a bien ri.
Expo "Chimeria", art visionnaire actuel, bien fait, mais un peu trop illustratif.
Traduire ou témoigner (?) d'un processus de tranmutation intérieur est toujours aussi difficile.
___
Priorité (?): la photogravure.
La photographie est une rencontre avec le moment présent et le ressenti de toute sa géométrie, complexe, subtile et grossière; rencontre incestueuse entre l'espace et le temps dont la géomètre préférée est la synchronicité.
Lumière/espace/personnages, éléments...
Conjonction avec le "maintenant".
.
samedi 7 mars 2009
Mars - 1
07.03.09
Minuit
Fin de stage informatique. Exercices, logiciels etc.
C'est ironique... Le mien ressemble à un (très) vieux dieu ancien qu'il faut extirper d'outre-tombe pour quelques minutes.
Les désirs sont comme des manèges, ça tourne, ça s'agite.
Les désirs sont séduisants, par définition, par nature et par inconvénient.
Trop souvent, ils alimentent l'illusion.
Ne pas chercher à construire.
Etre espion.
Attentif au réflexe (répressif) de "chercher le mouton noir" et aux manipulations subconscientes.
Demain, week-end à Sedan. Ouf...
________________________________
05.03.09
Actualisé les notes. Reparti sur la piste d'un mac portable...
Etre espion, quand même. Surtout du plan vigie-mouton(noir), à l'intérieur.
Au stage, aujourd'hui, quelques tirages papier de photos NB, restées sur ma clé Hu est-ce Bé.
Elles sont... bonnes. Affaire en suspens, mais à suivre.
Il y a de la géométrie spirituelle partout, si j'ouvre les (3) yeux.
Espionnage inversé, antipodesque, où les protections doivent se retirer (s'arracher ?).
________________________________
04.03.09
10h
Au cas où
Si je n'avais pas de raison personnelle pour nourrir l'amaritude, le samsara, lui, ne manque pas d'exemplaires.
Après le site pour les élèves-étudiants qui notent leurs profs (quels critères, quelle expérience, si ce n'est cette humeur juvénile, aléatoire, versatile, mélange de naïveté et d'arrogance), il y a maintenant un site qui fait le travail des élèves, moyennant finance, évidemment.
Marketing de la connaissance, sous traitance des apprentissages.
Acheter des compétences à défaut de les apprendre.
___
Le début de cette année 2009 est placé sous le signe des deuils.
Celui de mon oncle Pierre (et ma tante Michèle), celui de l'ordi agonisant, celui d'une relation... humaine.
Amaritude, liqueur de la déréliction.
Il y a encore des illusions qui sont collées à la peau de l'âme et qu'il faut arracher pour les faire tomber.
Je sens le souffre de l'ombre du Mollock.
L'odeur âcre de l'hypnose dont nous sommes atteints, des conditionnements dans lesquels nous sommes emprisonnés, des codes de comportement - costumes psychologiques - auxquels nous devons nous soumettre, au risque d'être incompréhensibles, asociaux et marginalisés. Attention ! La chasse est déjà ouverte.
Sombre labyrinthe.
___
12h
Les sirènes sonores de la ville sonnent dans un ciel rempli de pluie.
________________________________
03.03.09
L'illusoire d'une relation sans sujet/objet se confirme, chaque jour, chaque semaine, goutte à goutte.
Le voile bleu.
Mettre de la lumière sur ce procédé de "chercher le mouton noir", autrement dit d'alimenter le processus d'entropie, d'autodépréciation.
Mettre au jour.
Curieusement, ce soir, dans Pema (Bastions):
- L'essence de la vaillance c'est de ne pas être dupe de soi-même.
Beaucoup de pseudo-compréhensions de la pratique sont faussées parce qu'elles sont fondées sur des réactions.
Ne pas confondre les rouages des scénarios (les mêmes pour tout le monde) et les éléments de l'histoire personnelle qui l'animent.
De toute façon, il s'agit de laisser tomber les scénarios !
________________________________
02.03.09
Le mouton noir m'a collé aux fesses toute la journée.
________________________________
01.03.09
Le plan (entrevu hier) du Mac OS à 700 € est donc douteux.
Le rêve a duré une douzaine d'heures.
Le "vieux" continue à émerger sporadiquement de son coma.
Pas de sol ferme sous les pieds, pas de photos...
Amaritude
Pourtant, encore une fois, plane l'ombre d'un sentiment d'urgence.
___
L'entropie est peut-être un désir.
Thanatos, le pendant - le double ?- d'Eros, au moins aussi puissant.
Déclencheur d'une émotion négative: une pensée.
Irréversible
Mais il y a ce réflexe - visible - de "chercher le mouton noir". Il provoque une 2° émotion négative, qui, elle, peut se travailler.
Chercher le mouton noir à l'intérieur justifie les scénarios dépréciateurs.
.
Minuit
Fin de stage informatique. Exercices, logiciels etc.
C'est ironique... Le mien ressemble à un (très) vieux dieu ancien qu'il faut extirper d'outre-tombe pour quelques minutes.
Les désirs sont comme des manèges, ça tourne, ça s'agite.
Les désirs sont séduisants, par définition, par nature et par inconvénient.
Trop souvent, ils alimentent l'illusion.
Ne pas chercher à construire.
Etre espion.
Attentif au réflexe (répressif) de "chercher le mouton noir" et aux manipulations subconscientes.
Demain, week-end à Sedan. Ouf...
________________________________
05.03.09
Actualisé les notes. Reparti sur la piste d'un mac portable...
Etre espion, quand même. Surtout du plan vigie-mouton(noir), à l'intérieur.
Au stage, aujourd'hui, quelques tirages papier de photos NB, restées sur ma clé Hu est-ce Bé.
Elles sont... bonnes. Affaire en suspens, mais à suivre.
Il y a de la géométrie spirituelle partout, si j'ouvre les (3) yeux.
Espionnage inversé, antipodesque, où les protections doivent se retirer (s'arracher ?).
________________________________
04.03.09
10h
Au cas où
Si je n'avais pas de raison personnelle pour nourrir l'amaritude, le samsara, lui, ne manque pas d'exemplaires.
Après le site pour les élèves-étudiants qui notent leurs profs (quels critères, quelle expérience, si ce n'est cette humeur juvénile, aléatoire, versatile, mélange de naïveté et d'arrogance), il y a maintenant un site qui fait le travail des élèves, moyennant finance, évidemment.
Marketing de la connaissance, sous traitance des apprentissages.
Acheter des compétences à défaut de les apprendre.
___
Le début de cette année 2009 est placé sous le signe des deuils.
Celui de mon oncle Pierre (et ma tante Michèle), celui de l'ordi agonisant, celui d'une relation... humaine.
Amaritude, liqueur de la déréliction.
Il y a encore des illusions qui sont collées à la peau de l'âme et qu'il faut arracher pour les faire tomber.
Je sens le souffre de l'ombre du Mollock.
L'odeur âcre de l'hypnose dont nous sommes atteints, des conditionnements dans lesquels nous sommes emprisonnés, des codes de comportement - costumes psychologiques - auxquels nous devons nous soumettre, au risque d'être incompréhensibles, asociaux et marginalisés. Attention ! La chasse est déjà ouverte.
Sombre labyrinthe.
___
12h
Les sirènes sonores de la ville sonnent dans un ciel rempli de pluie.
________________________________
03.03.09
L'illusoire d'une relation sans sujet/objet se confirme, chaque jour, chaque semaine, goutte à goutte.
Le voile bleu.
Mettre de la lumière sur ce procédé de "chercher le mouton noir", autrement dit d'alimenter le processus d'entropie, d'autodépréciation.
Mettre au jour.
Curieusement, ce soir, dans Pema (Bastions):
- L'essence de la vaillance c'est de ne pas être dupe de soi-même.
Beaucoup de pseudo-compréhensions de la pratique sont faussées parce qu'elles sont fondées sur des réactions.
Ne pas confondre les rouages des scénarios (les mêmes pour tout le monde) et les éléments de l'histoire personnelle qui l'animent.
De toute façon, il s'agit de laisser tomber les scénarios !
________________________________
02.03.09
Le mouton noir m'a collé aux fesses toute la journée.
________________________________
01.03.09
Le plan (entrevu hier) du Mac OS à 700 € est donc douteux.
Le rêve a duré une douzaine d'heures.
Le "vieux" continue à émerger sporadiquement de son coma.
Pas de sol ferme sous les pieds, pas de photos...
Amaritude
Pourtant, encore une fois, plane l'ombre d'un sentiment d'urgence.
___
L'entropie est peut-être un désir.
Thanatos, le pendant - le double ?- d'Eros, au moins aussi puissant.
Déclencheur d'une émotion négative: une pensée.
Irréversible
Mais il y a ce réflexe - visible - de "chercher le mouton noir". Il provoque une 2° émotion négative, qui, elle, peut se travailler.
Chercher le mouton noir à l'intérieur justifie les scénarios dépréciateurs.
.
Inscription à :
Articles (Atom)
