jeudi 26 février 2009

#26

9h
Il est difficile de ne pas sentir - c'est à dire renifler - l'odeur sournoise et fétide d'un totalitarisme rampant.
L'évidence est nue, décharnée, et tellement... évidente que son indécence en devient pornographique. Tout se passe au grand jour.
La matière à méditation est épaisse, collante et toxique.
S'anesthésier en pratiquant la spéculation n'est pas suffisant et révèle plutôt une addiction égocentrique.

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21h
Pourquoi la pensée de Shakespeare, se présente-t-elle aussi souvent ?
Cet après-midi, le cours sur Spinoza, chez qui l'on trouve une géométrie des sentiments, ou affects.
Tiens, tiens...

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